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Mot du curé en période de confinement 2
Pour que la vie puisse continuer, malgré tout.
Boulogne sur mer, le mercredi 25 mars 2020
Chers paroissiens,
je vous rejoins ce mercredi 25 mars, pour la fête de l’Annonciation. Dans la tradition catholique, la Vierge Marie se fait proche de ses enfants quand ils l’invoquent.
Aujourd’hui encore, nous la prions pour celles et ceux qui souffrent de l’épidémie de Covid-19 et de ses multiples conséquences. Je ne veux pas en dresser ici la longue liste. Les médias nous la proposent quotidiennement.
Avec vous, bien simplement, je souligne le dévouement et le courage des soignants, des services publics, des professionnels du commerce et de toutes les personnes qui nous accompagnent en ces jours particuliers, pour que la vie puisse continuer malgré tout. Avec vous, j’en rends grâce à Dieu dans la prière.
Pour que la vie puisse continuer, malgré tout.
Les cloches de nos églises qui sonneront ce soir à 19h30 se feront l’écho de cette demande, de cette prière, de cette espérance commune.
Pour que la vie puisse continuer, malgré tout.
Mes pensées vous rejoignent, particulièrement les malades, les personnes seules ou fragiles. Transmettez-les-leur si vous le pouvez.
De tout cœur, je vous bénis. Prenez soin de vous et de vos proches.
Bien fraternellement,
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Aujourd’hui mercredi 25 mars
Pour vivre la fête de l’Annonciation
Nos évêques nous écrivent. Lisons leur lettre :
Lettre-eveques-de-France-COVID-19.pdf
Ce soir, à 19h30, en communion avec tous, allumons des bougies chez nous, à nos fenêtres.
Lisons l’évangile de l’Annonciation :
www.aelf.org/2020-03-25/romain/messe
Voici la méditation proposée par notre curé l’abbé Emmanuel :
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François Cassingena-Trévedy :
« Nous sommes convoqués à la fraternité du désert »
Pour réfléchir sur nos manières de vivre le confinement, Frère François-Marie Cassingena-Trévedy, moine bénédictin et professeur de liturgie à l’Institut Catholique de Paris, répond aux questions que lui pose cette semaine l’hebdomadaire La Vie.
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